
Qu’il s’agisse d’un séjour d’études ou d’un stage, des bourses s'offrent à vous pour vous aider à réaliser votre projet de mobilité internationale.
Selon la destination, la durée de la mobilité, la situation financière et sociale de l’étudiant, il est possible de demander une ou plusieurs aides.
L’Aide à la Mobilité Internationale (AMI)
Étudier hors de France représente une chance rare, mais ce projet reste difficile à réaliser pour de nombreux étudiants, principalement en raison du budget que cela implique.
Pour réduire ces obstacles et soutenir l’égalité d’accès à la mobilité, l’Aide à la Mobilité Internationale (AMI) a été créée. Ce dispositif s’adresse aux étudiants boursiers qui souhaitent suivre une partie de leurs études à l’étranger.
L’AMI prend la forme d’un soutien financier fixe, non remboursable, d’un montant de 400 € par mois, pouvant être versé pendant neuf mois maximum. Elle concerne les étudiants âgés de moins de 28 ans au 1er septembre de l’année universitaire en cours. Grâce à cette aide, les jeunes issus de familles aux revenus modestes peuvent envisager un séjour à l’étranger sans que les frais de logement ou les dépenses du quotidien ne représentent un frein insurmontable. On estime d’ailleurs qu’une famille sur deux ne peut pas assumer les coûts d’une mobilité internationale sans soutien extérieur. Avant de partir, une bonne préparation reste cependant indispensable. Les étudiants doivent notamment vérifier leur protection sociale à l’étranger : couverture des soins, rapatriement, ou encore prise en charge en cas d’arrêt des études.
Pour faciliter ces démarches, Studyassur, première néoassurance pensée pour les jeunes, propose des offres spécialement conçues pour les besoins liés aux études hors de France. Ce type d’accompagnement permet aux étudiants de vivre une expérience internationale avec davantage de sécurité, de sérénité et d’accessibilité.
Consultez les modalités d’éligibilité, les montants et les procédures de candidature de ces différents financements sur le site internet de la Direction des Relations Internationales de l’Université de Strasbourg.
Attention, ces financements peuvent constituer une aide importante, mais ils ne suffisent généralement pas pour couvrir la totalité des frais d’un séjour à l’étranger.





















