B16 – Atherosclerose-hypertension-thrombose
Le premier cycle dure trois ans
Les seconde et troisième années du premier cycle peuvent être intégrées à l'issue de la L1 Sciences pour la Santé (sps) voire des L2 et L3 avec parcours santé et sps de l’UNISTRA, qui préparent aussi aux études d'Odontologie, de Pharmacie, de Sage-Femme et de masso-kinésithérapie.
Rappelons qu’à Strasbourg, il n’est pas possible d’intégrer les secondes et troisièmes années en médecine (DFGSM 2 et 3) sans avoir été inscrit en L1sps et avoir validé les enseignements en santé (6UE santé) correspondants.
Notamment, il n’est pas possible d’avoir suivi une LAS ou une PASS dans une autre Université puis d’intégrer le DFGSM2 ou une L2 parcours santé ou sps à l’UNISTRA.
Le premier cycle est consacré aux enseignements fondamentaux, biocliniques et pré-cliniques et n'aborde pas les matières spécifiquement médicales mises à part l'Anatomie et la Séméiologie.
Le contact avec l'univers hospitalier a lieu dès la fin de la première année sous la forme d'un stage d'initiation aux soins infirmiers.
Le premier cycle est sanctionné par le diplôme de formation générale en sciences médicales (niveau licence).
L'admission en DFG2
L’admission en études de santé (Médecine, Maïeutique, Odontologie, Pharmacie et masso-kinésithérapie) se fera sur la base suivante :
il faudra tout d’abord réussir la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé »
les étudiants qui auront brillamment réussi la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé » seront admis directement en DFG2: il s'agira des 10 à 12% meilleurs de chacun des 11 parcours de la licence.
les étudiants qui auront bien réussi la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé » se présenteront à des épreuves orales d’admission: il s'agira des 25 à 30% suivants, en ordre de mérite, dans chacun des 11 parcours de la licence.
une partie des étudiants ayant présenté les épreuves orales d’admission seront admis en DFG2 par le jury, dans la limite des places disponibles.
(Les modalités exactes seront fixées par la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire de l'Université de Strasbourg)
Qu’en est-il du numerus clausus ?
Le numerus clausus national pour réguler l’accès au DFG2 est remplacé par une capacité d’accueil pour chacune des filières de médecine, maïeutique, odontologie et pharmacie (DFG2) à l’Université de Strasbourg, fixée par le président de l’université, en lien avec l’Agence régionale de la santé.
Cette capacité d'accueil sera fixée à la fin du mois de mars 2020.
Après la 1e année de licence SpS
Après la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé », les étudiants admis en DFG2 s’inscriront dans la filière de santé, dans la limite des places disponibles.
Les étudiants qui auront réussi la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé », mais qui n’auront pas été admis en DFG2 (soit qu’ils n’aient pas été admissibles aux épreuves d’admission, soit qu’ils n’aient pas réussi celles-ci), pourront, au choix :
Après la 1e année de licence SpS
Après la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé », les étudiants admis en DFG2 s’inscriront dans la filière de leur choix, dans la limite des places disponibles.
Les étudiants qui auront réussi la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé », mais qui n’auront pas été admis en DFG2 (soit qu’ils n’aient pas été admissibles aux épreuves d’admission, soit qu’ils n’aient pas réussi celles-ci), pourront, au choix :
- poursuivre en 2e année de la licence « Sciences pour la Santé »
- poursuivre en 2e année de la licence correspondant au parcours qu’ils auront suivi en 1e année (sous réserve d’avoir obtenu la moyenne dans l’ensemble d’enseignements « Discipline hors santé »)#1.
- se réorienter vers une autre formation.
Les étudiants qui n’auront pas réussi la 1e année de la licence « Sciences pour la Santé » pourront, au choix :
- se réorienter en 1e année d’une autre formation à l’Université de Strasbourg ou dans un autre établissement d’enseignement supérieur via Parcoursup.
#1 Ces éléments sont présentés ici sous réserve des votes des modalités d'évaluation et de contrôle des connaissances par la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire. Ils sont donc susceptibles d'évoluer.